
samedi 27 janvier 2007
Bon demain j'espère bien voir ce genre de type à mon cours de Fight...
vendredi 26 janvier 2007
jeudi 25 janvier 2007
Le tout dernier Calogéro... Vraiment fabuleux!!!! LE SAUT DE L'ANGE... vos coms svp!!!

Kissing you... Des'ree

La fierté peut résister à un millier d'épreuves |
Le fort ne faiblira jamais |
Mais en regardant les étoiles sans toi mon âme a pleuré |
Un coeur pesant est empli de douleur |
Oh, oh, la douleur |
Parce que je t'embrasse, oh |
Je t'embrasse oh |
Touche-moi profondément, purement et sincèrement Un Cadeau éternel pour moi |
Parce que je t'embrasse |
Oh, je t'embrasse, oh |
Où es-tu maintenant ? |
Parce que je t'embrasse |
Je t'embrasse, oh |
l'Evangile (selon Robert)

Mais je ne sais plus son nom
Nous l'avons tous connue
C'est le premier amour volé.
Celui qui nous envoie au bout du monde
Chercher des allumettes...
C'est fou comme les tabacs sont loin
Dans les hôtels paumés.
Je l'ai gardée autant que j'ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je l'ai perdue.
Au hasard d'une rencontre
On ne se souviendrait plus.
Le temps passe, on oublie
Et on ne reconnaît rien
Ça va de la blonde de sa vie
A celle de c'matin.
Les vies débiles
Défilent et on oublie
Je me souviens d'un connard
Qui n'pouvait pas m'pifer
Nous l'avons tous connu
C'est l'premier gros qui aime cogner.
Celui qui nous envoie au fond d'la cour
Pour ne pas l'croiser...
C'est fou ce qu'il y a comme cons
Qui deviennent bacheliers.
Je l'ai haï autant qu'j'ai pu
Et puis à cause du temps
Un jour il s'est perdu.
Même si je l'retrouvais
Je ne m'en souviendrais plus.
Le temps passe, on oublie
En plus on ne reconnait rien
Ça va du premier abruti
A celui de demain matin.
Les vies débiles
Défilent et on oublie
Quand c'est fini, c'est pas fini
L'eau devient mer et revient pluie.
Les filles, l'alcool, la coke, les matins gris
Et puis sa femme qui n'attend plus
Qui s'tire avec un inconnu
Seuls les chagrins restent à leur place
Avec leurs sales gueules dans la glace.
Je me suis juré cent fois
De remettre tout à plat
Nous avons tous fait ça
Je jure de n'plus jamais jurer.
Ce genre de truc qui vous envoie
au bout du monde
Pour vous vider la tête...
C'est fou comme les alcools sont vagues
A 47 degrés...
J'ai encaissé autant que j'ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je n'ai plus bu.
Juste pour accompagner
Un verre d'eau whiskysée.
Le temps passe on oublie
Et on n'reconnaît rien.
Ça va d'la blonde à l'abruti
Jusqu'aux voyages au bout de la nuit.
Les vies débiles
défilent et on oublie
mercredi 24 janvier 2007
mardi 23 janvier 2007
lundi 22 janvier 2007
Don't let go... Ne jamais renoncer à ce qu'on croit

Je n'arrive pas à croire que ce moment soit arrivé |
C'est tellement incroyable que nous soyons seuls |
Il y a tellement à dire et à faire |
Il est impossible de ne pas être surpris |
Me pardonneras-tu si je me sens ainsi |
Car nous venons juste de nous rencontrer – dis moi que tu es d'accord |
Alors garde cette sensation et fais-la grandir |
Ne renonce pas – ne renonce jamais |
(Ne renonce pas aux choses auxquelles tu crois) |
Tu me fais ressentir des choses auxquelles je peux enfin croire |
(Ne renonce pas, prends ton temps) |
Prends ton temps |
(Ne renonce jamais à ce que tu ressens) |
Je ne peux expliquer ce que je ressens |
(Ne renonce pas) |
Non, je ne renoncerai pas |
A présent, que dirais-tu si je mettais mon coeur à nu |
Si je me dévoilais et te disais que tu es magnifique |
Car il y a quelque chose ici que je ne peux expliquer |
J'ai l'impression d'avancer sous une pluie battante |
Tous mes sens sont en éveil |
Je ne peux résister à ton adorable, adorable sourire |
Alors garde cette sensation et fais-la grandir |
Ne renonce pas – ne renonce jamais |
J'ai attendu toute ma vie |
Afin de rendre ce moment tellement agréable |
Te sentir près de moi emplit cette nuit |
Alors viens – serre-moi fort |
OMD...Et un vrai tube des années 80 ;-)

Enola Gay, tu aurais dû rester chez toi hier
oh oh ça ne peut décrire le sentiment et la façon dont tu as menti
Ces jeux auxquels tu joues, ils vont tous se terminer en pleurs un jour
oh oh Enola Gay, ça ne devrait jamais se terminer ainsi
Il est 8h15 et ce sera pour toujours cette heure
Nous avons notre message radio; conditions normales et tu reviens à la maison
Enola Gay, est-ce que sa maman est fière de son petit garçon
Oh oh ce baiser que tu donnes, il ne s'effacera jamais
Enola Gay, ça ne devrait jamais se terminer ainsi
oh oh, Enola Gay, ça ne devrait pas s'effacer de nos rêves
Il est 8h15 et ce sera pour toujours cette heure
Nous avons notre message radio; conditions normales et tu reviens à la maison
Enola Gay, est-ce que sa maman est fière de son petit garçon
Oh oh ce baiser que tu donnes, il ne s'effacera jamais
dimanche 21 janvier 2007
Bad Love... Yves Simon, dont j'adore tous les écrits...Quelle vérité...!

Au milieu des fusées qui transpercent l'azur.
Tout va si vite à la télé.
Y a des volcans en éruption et des visages d'enfants
Qui s'enfoncent dans la boue.
Je te regarde, je pense à toi / je te regarde, je pense à toi
Et je n'sais même pas si je t'aime.
A cinq heures du matin c'est plus la nuit c'est pas l'matin,
Dans les banlieues les trains démarrent...
Dans les banlieues y a des humains.
Et quand tu parlais de tes rêves, moi j'y croyais,
Je savais qu'il fallait t'arrêter ou qu'tu t'en irais.
Pour toujours,
Pour toujours.
On vit des histoires d'amour, des drôles d'histoires tous les jours,
Quand on se quitte c'est pas exprès,
Mais les souvenirs ça court après...
Je te regarde, je pense à toi / je te regarde, je pense à toi
Et je n'sais même pas si je t'aime.
On vit des histoires d'amour, des drôles d'histoires tous les jours,
Au milieu des fusées qui transpercent l'azur.
Tout va si vite à la télé.
Y a des volcans en éruption et des visages d'enfants
Qui s'enfoncent dans la boue.
Je te regarde, je pense à toi / je te regarde, je pense à toi
Et je n'sais même pas si je t'aime.
Toi, tu penses avec le temps... comme si y avait l'éternité.
Parfois les mots sont cannibales, calibre 6.35 des balles...
Et ça déchire... Pour un secret... Et ça déchire... Parce que c'est vrai
Pour toujours, pour toujours, pour toujours.
...
Tu ne sauras jamais
Tout mon amour secret
J'avais du mal à ne rien dire
Si peur de t'entendre rire
J'étais muet devant tes pas
Avec des mots d'amour sans voix
Tout ces lettres que je gardais
T'auraient dit pourquoi je t'aimais
T'auraient dit pourquoi la nuit
moi je chantais
Tu ne sauras jamais que cette chanson
Portait ton nom
Toi, tu venais chez moi
Dans mes rêves comme dans mes bras
Combien de fois je t'ai fait danser
Sans même oser t'inviter
J'te disais tout sans rien t'cacher
A ta photo sur l'oreiller
Et j'inventais tout un roman
Qui t'aurait dit pourquoi je t'aimais
Qui t'aurait dit pourquoi la nuit
moi je chantais
Qui t'aurait dit pourquoi la nuit ma
chanson pleurait
Tu ne sauras jamais
Que cette chanson

Portait... ton nom
