samedi 27 janvier 2007

J'aime bien Woody aussi (puis j'adore ce prénom... très original!!!!)


Le voilà...

Une autre bonne série actuelle celle-ci: "Preuve à l'appui"

Au milieu, il y a Jordan et Woody... Mais mon petit chouchou, c'est Nigel, à droite.

Bon demain j'espère bien voir ce genre de type à mon cours de Fight...


Miam miam...
Bon on peut toujours rêver...




Suis impatiente d'y être je vais pouvoir botter des fesses!!!!!!

Une bonne petite série d'antan... Ah nostalgie quand tu nous tient!


Pour connaître l'origine et la qualité d'un vin, il n'est pas nécessaire de boire le tonneau entier.

vendredi 26 janvier 2007


L'égoïste n'est pas celui qui vit comme il lui plaît, c'est celui qui demande aux autres de vivre comme il lui plaît ; l'altruiste est celui qui laisse les autres vivre leur vie, sans intervenir.

jeudi 25 janvier 2007

Le tout dernier Calogéro... Vraiment fabuleux!!!! LE SAUT DE L'ANGE... vos coms svp!!!



Si je ne réponds pas quand tu me fais signe,
Laisse-moi un message,
Que je devine ce que tu es,
Ce que serait l’amour entre nous,
L’amour après tout.
Et si sur cette voie, je ne te suis pas,
Je sais le message
À tout jamais.
Un jour ou l’autre il faut qu’on saute,
Tenter le voyage,
Trouver le courage
Je sais qu'il manque parfois l'étincelle,
Je sais qu'il ne nous manque pas l'essentiel,
Je sais que c'est toujours l'amour qui donne des ailes.
Le saut de l'ange...
Je sais qu'on a le coeur au bord du vide,
Mais je sais que c'est l'ange qui nous guide,
Entre les orages, entre les naufrages...
Si je ne suis pas l’homme que tu attendais,
Laisse-moi un message
Sait-on jamais
Quoi que je fasse, quoique j’ai fait
Dans tout le silence, reste l’évidence
Je sais qu'il manque parfois l'étincelle,
Je sais qu'il ne nous manque pas l'essentiel,
Je sais que c'est toujours l'amour qui donne des ailes.
Le saut de l'ange...
Je sais qu'on a le coeur au bord du vide,
Mais je sais que c'est l'ange qui nous guide,
Entre les orages, entre les naufrages...

Kissing you... Des'ree


La fierté peut résister à un millier d'épreuves
Le fort ne faiblira jamais
Mais en regardant les étoiles sans toi mon âme a
pleuré
Un coeur pesant est empli de douleur
Oh, oh, la douleur
Parce que je t'embrasse, oh
Je t'embrasse oh
Touche-moi profondément, purement et sincèrement
Un Cadeau éternel pour moi

Parce que je t'embrasse
Oh, je t'embrasse, oh
Où es-tu maintenant ?
Parce que je t'embrasse
Je t'embrasse, oh

l'Evangile (selon Robert)


Je me souviens d'une fille blonde
Mais je ne sais plus son nom
Nous l'avons tous connue
C'est le premier amour volé.
Celui qui nous envoie au bout du monde
Chercher des allumettes...
C'est fou comme les tabacs sont loin
Dans les hôtels paumés.

Je l'ai gardée autant que j'ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je l'ai perdue.
Au hasard d'une rencontre
On ne se souviendrait plus.

Le temps passe, on oublie
Et on ne reconnaît rien
Ça va de la blonde de sa vie
A celle de c'matin.

Les vies débiles
Défilent et on oublie


Je me souviens d'un connard
Qui n'pouvait pas m'pifer
Nous l'avons tous connu
C'est l'premier gros qui aime cogner.
Celui qui nous envoie au fond d'la cour
Pour ne pas l'croiser...
C'est fou ce qu'il y a comme cons
Qui deviennent bacheliers.

Je l'ai haï autant qu'j'ai pu
Et puis à cause du temps
Un jour il s'est perdu.
Même si je l'retrouvais
Je ne m'en souviendrais plus.

Le temps passe, on oublie
En plus on ne reconnait rien
Ça va du premier abruti
A celui de demain matin.

Les vies débiles
Défilent et on oublie

Quand c'est fini, c'est pas fini
L'eau devient mer et revient pluie.
Les filles, l'alcool, la coke, les matins gris
Et puis sa femme qui n'attend plus
Qui s'tire avec un inconnu
Seuls les chagrins restent à leur place
Avec leurs sales gueules dans la glace.

Je me suis juré cent fois
De remettre tout à plat
Nous avons tous fait ça
Je jure de n'plus jamais jurer.
Ce genre de truc qui vous envoie
au bout du monde
Pour vous vider la tête...
C'est fou comme les alcools sont vagues
A 47 degrés...
J'ai encaissé autant que j'ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je n'ai plus bu.
Juste pour accompagner
Un verre d'eau whiskysée.

Le temps passe on oublie
Et on n'reconnaît rien.
Ça va d'la blonde à l'abruti
Jusqu'aux voyages au bout de la nuit.

Les vies débiles
défilent et on oublie

Un super mec qui vieillit bien, ce Sardou... Vivement le 19 avril pour le voir à son concert!!!!

Rien n'est réel sauf le hasard.

mercredi 24 janvier 2007


Ce qu'il y a d'ennuyeux dans l'amour; c'est que c'est un crime où l'on ne peut pas se passer d'un complice.

mardi 23 janvier 2007

Bonjour à toutes celles qui nourrissent leurs petits veaux le plus longtemps possible et à celles qui essaient de faire au mieux... Vous n'êtes pas des extra-terrestres!
VIVE LE LAIT MATERNEL POUR NOS PETIOTS***

Blondes, ne regardez pas!


Pour se remonter le moral...

Hommage...


On n'est jamais heureux que dans le bonheur qu'on donne.

Donner, c'est recevoir .

lundi 22 janvier 2007

Don't let go... Ne jamais renoncer à ce qu'on croit


Je n'arrive pas à croire que ce moment soit arrivé
C'est tellement incroyable que nous soyons seuls
Il y a tellement à dire et à faire
Il est impossible de ne pas être surpris
Me pardonneras-tu si je me sens ainsi
Car nous venons juste de nous rencontrer – dis moi que tu es d'accord
Alors garde cette sensation et fais-la grandir
Ne renonce pas – ne renonce jamais

(Ne renonce pas aux choses auxquelles tu crois)
Tu me fais ressentir des choses auxquelles je peux enfin croire
(Ne renonce pas, prends ton temps)
Prends ton temps
(Ne renonce jamais à ce que tu ressens)
Je ne peux expliquer ce que je ressens
(Ne renonce pas)
Non, je ne renoncerai pas

A présent, que dirais-tu si je mettais mon coeur à nu
Si je me dévoilais et te disais que tu es magnifique
Car il y a quelque chose ici que je ne peux expliquer
J'ai l'impression d'avancer sous une pluie battante
Tous mes sens sont en éveil
Je ne peux résister à ton adorable, adorable sourire
Alors garde cette sensation et fais-la grandir
Ne renonce pas – ne renonce jamais



J'ai attendu toute ma vie
Afin de rendre ce moment tellement agréable
Te sentir près de moi emplit cette nuit
Alors viens – serre-moi fort

OMD...Et un vrai tube des années 80 ;-)


Enola Gay, tu aurais dû rester chez toi hier
oh oh ça ne peut décrire le sentiment et la façon dont tu as menti

Ces jeux auxquels tu joues, ils vont tous se terminer en pleurs un jour
oh oh Enola Gay, ça ne devrait jamais se terminer ainsi

Il est 8h15 et ce sera pour toujours cette heure
Nous avons notre message radio; conditions normales et tu reviens à la maison

Enola Gay, est-ce que sa maman est fière de son petit garçon
Oh oh ce baiser que tu donnes, il ne s'effacera jamais

Enola Gay, ça ne devrait jamais se terminer ainsi
oh oh, Enola Gay, ça ne devrait pas s'effacer de nos rêves

Il est 8h15 et ce sera pour toujours cette heure
Nous avons notre message radio; conditions normales et tu reviens à la maison

Enola Gay, est-ce que sa maman est fière de son petit garçon
Oh oh ce baiser que tu donnes, il ne s'effacera jamais

Que sait du désert celui qui ne regarde qu'un grain de sable?

dimanche 21 janvier 2007

Bad Love... Yves Simon, dont j'adore tous les écrits...Quelle vérité...!


On vit des histoires d'amour, des drôles d'histoires tous les jours,
Au milieu des fusées qui transpercent l'azur.
Tout va si vite à la télé.
Y a des volcans en éruption et des visages d'enfants
Qui s'enfoncent dans la boue.

Je te regarde, je pense à toi / je te regarde, je pense à toi
Et je n'sais même pas si je t'aime.


A cinq heures du matin c'est plus la nuit c'est pas l'matin,
Dans les banlieues les trains démarrent...
Dans les banlieues y a des humains.
Et quand tu parlais de tes rêves, moi j'y croyais,
Je savais qu'il fallait t'arrêter ou qu'tu t'en irais.


Pour toujours,
Pour toujours.


On vit des histoires d'amour, des drôles d'histoires tous les jours,
Quand on se quitte c'est pas exprès,
Mais les souvenirs ça court après...


Je te regarde, je pense à toi / je te regarde, je pense à toi
Et je n'sais même pas si je t'aime.


On vit des histoires d'amour, des drôles d'histoires tous les jours,
Au milieu des fusées qui transpercent l'azur.
Tout va si vite à la télé.
Y a des volcans en éruption et des visages d'enfants
Qui s'enfoncent dans la boue.


Je te regarde, je pense à toi / je te regarde, je pense à toi
Et je n'sais même pas si je t'aime.


Toi, tu penses avec le temps... comme si y avait l'éternité.
Parfois les mots sont cannibales, calibre 6.35 des balles...
Et ça déchire... Pour un secret... Et ça déchire... Parce que c'est vrai


Pour toujours, pour toujours, pour toujours.

...

Toi
Tu ne sauras jamais
Tout mon amour secret
J'avais du mal à ne rien dire
Si peur de t'entendre rire
J'étais muet devant tes pas
Avec des mots d'amour sans voix
Tout ces lettres que je gardais
T'auraient dit pourquoi je t'aimais
T'auraient dit pourquoi la nuit
moi je chantais
Tu ne sauras jamais que cette chanson
Portait ton nom

Toi, tu venais chez moi
Dans mes rêves comme dans mes bras
Combien de fois je t'ai fait danser
Sans même oser t'inviter
J'te disais tout sans rien t'cacher
A ta photo sur l'oreiller
Et j'inventais tout un roman
Qui t'aurait dit pourquoi je t'aimais
Qui t'aurait dit pourquoi la nuit
moi je chantais
Qui t'aurait dit pourquoi la nuit ma
chanson pleurait
Tu ne sauras jamais
Que cette chanson

Portait... ton nom

Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion, mais jamais à celui qui la manque.
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