samedi 3 mars 2007
Témoignage... universel
Et bien voilà, il est 23h46 ce 3 mars 2007 et la Lune vient de plonger entièrement dan le cône d'ombre de la Terre.
Elle est à présent d'une jolie couleur orangée...
Je me suis toujours dit que le spectacle devait être magnifique de là-bas avec une belle éclipse de Soleil...
Ca faisait très longtemps que je n'avais plus observé une éclipse de Lune mais franchement, c'est toujours aussi beau aussi fascinant.
C'est fou ce cercle orange dans le ciel étoilé...
Il suffit de penser à eux...
quand rien ne va
je pense à toi
t’es mon soleil
plus jamais froid
le monde est gris
il ne sourit pas
mon truc à moi
je pense à toi
quand tout est trouble
et me déçoit
c’est toi qui brilles
la pluie s’en va
le monde n’en rit
toujours pas
mon truc à moi
je pense à toi
ce matin chaque chose
me pèse
le moindre détail
devient casse pied
je passé encore à côté
d’une belle journée
alors je pense à toi
quand rien ne va
je pense à toi
t’es mon soleil
plus jamais froid
le monde est gris
il ne sourit pas
mon truc à moi
je pense à toi
the sky looks grey
you make my day
the thought of you
clouds move away
the world’s mourning
not happy today
I think of you
you make my day
j’ai des jours
où les questions m’arrosent
la nuit tombe
et j’en suis toujours là
je pense à toi et les fleurs
reprennent leur couleur
je n’ai plus peur
quand rien ne va
je pense à toi
t’es mon soleil
plus jamais froid
le monde est gris
il ne sourit pas
mon truc à moi
je pense à toi
quand tout est trouble
et me déçoit
c’est toi qui brilles
la pluie s’en va
le monde n’en rit
toujours pas
mon truc à moi
je pense à toi
vendredi 2 mars 2007
jeudi 1 mars 2007
Samantha...Oups
mercredi 28 février 2007
Et le vôtre, c'est quoi????
Relations parents-enfants pas toujours faciles, pourtant
Pour bercer tes rêves d'enfant
Ensemble on est devenu grand
De bons points en double zéro
Paralysés par tant d'amour
On s'apprivoise au jour le jour
J'ai jamais su trouver les gestes
Qui pouvaient soigner tes blessures
Guider tes pas vers le futur
À tous les signaux de détresse
Dis, comment j'aurais pu faire face
Pris entre le feu et la glace
Au delà de nos différences
Des coups de gueule des coups de sang
À force d'échanger nos silences
Maintenant qu'on est face à face
On se ressemble sang pour sang
Comme si les battements de nos cœurs
Etaient sûr la même longueur d'ondes
Les lignes de nos mains se confondent
Tu me renvoies comme un miroir
Mes doutes et mes éclats de rires
La promesse d'un autre avenir
Peu importe si la vie menace
Ce qui reste en nous d'innocent
Puisqu'on se comprend à présent
Peu à peu la douleur s'efface
On en garde plus qu'une trace
Comme une offense au temps qui passe
Au-delà de nos différences
Des coups de gueule des coups de sang
A force d'échanger nos silences
Maintenant qu'on est face à face
On se ressemble sang pour sang
Au-delà de nos différences
A force d'échanger nos silences
Maintenant qu'on est face à face
On se ressemble sang pour sang
Tous les deux sang pour sang
Tout les deux sang pour sang
Oui, sang pour sang
mardi 27 février 2007
Les yeux du coeur
Deux hommes tous les deux gravement malades occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'assoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.
L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre la vue donnait sur un parc avec un beau lac les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits.
Les amoureux marchaient, bras dessus bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre il pouvait le voir avec les yeux de son imagination tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin à l'heure du bain l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre mort paisiblement dans son sommeil.
Attristée elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière heureuse de lui accorder cette petite faveur s'assura de son confort puis elle le laissa seul.
Lentement péniblement le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur
un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or tout ce qu'il vit fut un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
épilogue : Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur mais le bonheur une fois partagée, s'en trouve double.
Si vous voulez vous sentir riche vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Aujourd'hui est un cadeau c'est pourquoi on l'appelle "présent"lundi 26 février 2007
dimanche 25 février 2007
Non jamais,
Je ne serai faite pour le mariage,
Ni une fille bien sage.
Je le sais, cette vie n'est pas pour moi.
J'ai compris,
Que si je veux rester celle que je suis,
Mes parents seront meurtris.
Quel est donc ce mirage,
Cette image, sans visage ?
Pourquoi miroir réfléchis-tu sans me voir ?
Je cherche en ma mémoire,
Qui je suis, pour savoir.
Perdue dans ces réflexions,
Où mon âme s'égare...
Dans mon miroir d'illusions,
Quelle fille je vais voir ?